Juridique Comment créer une association ?11 septembre 2018Un projet culturel ou sportif en tête, vous souhaitez créer une association. Mais par où commencer ? Quelles sont les formalités ? Même pour une association, il est nécessaire de respecter un certain nombre de règles et de procéder à des démarches administratives. Obligations pour la création d’une association En premier lieu, il est nécessaire de vérifier que le projet entre dans le cadre de la loi 1901, c’est-à-dire que l’association n’a pas de but lucratif, en clair, qu’elle ne fasse pas de commerce ou des bénéfices. Si tel était le cas c’est la constitution d’une société qu’il faut envisager et cela même si le chiffre d’affaires n’est pas conséquent. Dans ce cas, il pourra, par exemple, être possible de choisir un statut d’auto entrepreneur. Lors de la création d’une l’association en Essonne, qui doit comporter deux membres minimum, des statuts, comme pour une société, devront être rédigés qui stipuleront le nom, l’objet, la durée et le siège social, mais également les règles d’organisation et de fonctionnement. Ces statuts doivent être transmis à la préfecture pour acceptation et enregistrement. L’association sera effective à réception du récépissé de la préfecture et de la parution au Journal Officiel. Règles de fonctionnement L’association devra être vigilante sur un certain nombre de points dans le cadre de son activité. Des obligations en cas d’organisation d’événements sur la voie publique, organisation de voyages ou d’évènements sportifs aux obligations juridiques, autant de sujets qu’il faut maîtriser et en respecter les règles. C’est pour cette raison que les associations peuvent faire appel à des conseils comme Action Association qui les épaulera non seulement à la constitution, mais durant la vie de l’association afin de faire face à des questions aussi variées que le statut des bénévoles ou des éventuels salariés, la responsabilité pénale et civile, la location ou la vente des locaux de l’association. Pour plus d’informations c’est par ici : https://www.actionassociation.fr/modalites-creation-association-essonne-91/... En savoir +Dans quel cas peut-on faire appel à un avocat en droit de la famille en Essonne ?20 août 2018La première chose à laquelle il faut penser, c’est que chacun d’entre nous à des devoirs, mais aussi des droits. Afin de défendre les droits et les intérêts de chacun, l’aide et le conseil d’un avocat sont souvent inévitables. En ce qui concerne les conflits familiaux, il est nécessaire d’être accompagné par un avocat en droit de la famille. Pour des conflits professionnels mettant en cause un salarié et son employeur, il conviendra d’être accompagné par un avocat spécialisé en droit du travail. Faire appel à un avocat en droit de la famille La vie de famille n’est pas toujours un long fleuve tranquille et parfois, certaines situations peuvent être compliquées à gérer. C’est notamment le cas pour un divorce, une séparation ou encore afin d’obtenir l’autorité parentale. Dans ces situations conflictuelles, le recours à un avocat en droit de la famille permet que vos droits soient défendus afin que vous ayez la possibilité d’obtenir gain de cause. Maître Cathy Pereira est avocat en droit de la famille en Essonne et elle assure la défense de ses clients afin de faire respecter leurs droits au moment de la liquidation du régime matrimonial ou pour obtenir la pension alimentaire à laquelle ils peuvent prétendre. La défense des droits : un élément essentiel dans la vie de chacun “Nul n’est censé ignorer la loi” est un principe moral connu de tous, et cela signifie que la non connaissance de la loi ne peut être invoquée pour échapper à ses devoirs. Toutefois, pour appliquer la loi et défendre ses intérêts, le recours à un avocat en droit de la famille en l’Essonne, comme Maître Pereira, est nécessaire pour gérer le conflit qu’il soit d’ordre familial ou professionnel ou encore obtenir réparation si cela devait être le cas. Si un avocat en droit de la famille est présent pour vous accompagner dans d’éventuels conflits familiaux où il devient nécessaire d’assurer la protection de sa famille, il est également présent dans des moments plus heureux comme l’adoption d’un enfant. Dans cette dernière situation, ses conseils et son accompagnement permettent que les documents et l’adoption en elle-même se fassent dans le respect de la loi. Pour plus d’informations, cliquez sur ce lien : https://www.avocat-pereira.fr/droit-de-la-famille/... En savoir +Tout savoir sur le commissaire aux comptes association loi 19014 juin 2018En phase de création d’une association, mais également toute la phase au cours de son existence, les fondateurs doivent réaliser certaines démarches administratives obligatoires. En phase de création, ils devront établir des statuts, au même titre que pour une entreprise, et ils devront déclarer l’existence de leur association afin que celle-ci puisse acquérir la personnalité juridique. Toutes ces démarches administratives et fiscales, qu’elles aient lieu en phase de démarrage ou par la suite, sont d’une importance capitale. En effet, en cas d’oubli ou de retard, l’administration fiscale peut condamner l’association à régler des frais de pénalité, peut attaquer les fondateurs en justice et dissoudre l’association. La nomination d’un commissaire aux comptes association loi 1901 Ainsi, les fondateurs doivent respecter les lois et réglementations en vigueur, et ce, y compris dans la nomination d’un commissaire aux comptes en association loi 1901, dont les conditions de désignation et les missions sont définies par la loi. Toutes ces obligations et documents à fournir ne sont pas forcément connus de tout le monde, c’est pourquoi faire appel à un cabinet comptable spécialisé en association comme Action Association, reste la solution aux différentes problématiques. En effet, ce professionnel du droit comptable, fiscal et social accompagne, conseille et guide les futurs fondateurs dans les différentes démarches à effectuer. Quel est le rôle d’un commissaire aux comptes association loi 1901 ? Le rôle de cet expert-comptable est également de vous aider dans la réalisation des différentes procédures juridiques à mettre en place comme la convocation du commissaire aux comptes en association loi 1901 aux assemblées ordinaires et extraordinaires. Ce commissaire aux comptes, comme dans les entreprises, doit vérifier la concordance entre les comptes annuels de l’association avec la situation réelle de celle-ci. Ces missions sont définies par la loi et sa présence devient obligatoire dans certaines associations, dès lors où certains seuils sont dépassés. L’aide d’un cabinet, tel que Action Association, permet aux fondateurs d’association d’être dans le respect des lois et ainsi assurer la pérennité et la stabilité financière de leur association. Pour plus d’informations, cliquez sur ce lien : https://www.actionassociation.fr/comptes-association-91/cac-et-association/... En savoir +Comment assurer la protection de sa famille et de son conjoint ?16 avril 2018La vie réserve parfois des évènements qu’il est difficile de surmonter. Penser au pire, même si nous souhaitons tous l’éviter, est parfois une solution d’assurer la protection de ses proches. Aujourd’hui, il existe divers contrats de prévoyance qui, même s’ils n’enlèveront rien à la gravité de la situation, peuvent aider à surmonter financièrement cette épreuve. En tant que chef d’entreprise se poser les bonnes questions et y trouver les solutions s’impose. Il faut envisager le pire et prévoir une protection pour sa famille afin de les protéger en cas d’éventuel décès. Si certains droits sont prévus par le régime général, ils ne suffiront certainement pas à vous garantir une stabilité financière. Les droits en cas de décès du conjoint Connaître ses droits est primordial et pour vous aider à en avoir connaissance, le site Elles Assurent propose aux femmes chefs d’entreprise, conjointes collaboratrices, associées ou salariées de les accompagner et de les conseiller en matière de protection sociale, de retraite ou encore d’assurance professionnelle. Le régime général garantit un capital décès qui permettra d’aider le conjoint survivant dans un premier temps. De plus, sous certaines conditions, une pension de réversion peut être versée qui permettra de maintenir une certaine stabilité financière. En tant que conjointe collaboratrice, vous pouvez prétendre à cette allocation conjointe du bâtiment. Toutefois, même si ces aides peuvent vous être octroyées, elles ne seront pas suffisantes. Il est, de ce fait, nécessaire de souscrire en amont des contrats de prévoyance qui permettront à votre conjoint ou conjointe de garder un confort de vie. Certains contrats proposent le versement d’une rente ou d’un capital en cas de décès des suites d’une maladie ou d’un accident. Une rente éducation peut, également, être envisagée afin d’assurer un avenir à ses enfants afin qu’ils puissent poursuivre leurs études. L’avenir de l’entreprise En cas de décès du conjoint chef d’entreprise, il faut savoir qu’en tant que conjointe collaboratrice vous pouvez poursuivre l’activité à condition d’avoir les qualifications nécessaires. Les conjointes-associées pourront reprendre l’exploitation, pour cela, elles devront demander que l’entreprise leur soit attribuée au moment de la succession en dédommageant les éventuels héritiers. Enfin, la conjointe-salariée bénéficie d’un contrat de travail, et le décès ne change en rien ce contrat. Toutefois, selon le régime matrimonial, l’entreprise peut vous appartenir suite au décès de votre conjoint chef d’entreprise. Afin d’assurer la pérennité de l’entreprise et sa stabilité financière, les équipes de Elles Assurent vous conseilleront sur des contrats d’assurance dits “homme-clé”. Pour plus de renseignements, rendez-vous sur le lien suivant : https://www.ellesassurent.fr/assurance-femme#profil-115... En savoir +Ce qui a changé au 1er janvier pour les entreprises : la Check-List Bureau Veritas29 janvier 2018La nouvelle année marque également un tournant pour les entreprises et Bureau Veritas a listé les 15 évolutions réglementaires qui sont entrées en vigueur le 1er janvier 2018 pour les sociétés. Ainsi, les sujets abordés vont des ressources humaines, en passant par la sécurité et l’environnement, également la fiscalité et d’autres encore. Bureau Veritas a travaillé en collaboration avec Amadeo pour obtenir ces informations. Il s’agit d’une check-list, définitive, afin d’avoir une vision globale de ces nouvelles réglementations et de ce qui attend les entreprises lors de l’année 2018. Il est toujours utile de s’en informer au préalable et les nouvelles années représentent des challenges à relever en matière d’innovation pour les entreprises qui peuvent s’inspirer de cette liste afin d’évoluer. 1. Pénibilité au travail : 6 facteurs et 1 compte personnel de prévention Au 1er janvier 2018, l’obligation de négocier un accord collectif ou d’établir un plan d’actions sur la prévention de la pénibilité au travail, concerne les entreprises dont au moins 25% des salariés sont exposés aux facteurs de pénibilité, parmi les 6 précisés par l’ordonnance : travail de nuit, en équipes successives alternantes, en milieu hyperbare, au bruit, aux températures extrêmes, au travail répétitif. Rappelons que cette obligation ne concernait jusque-là que les entreprises dont au moins 50% des salariés étaient exposés aux 10 facteurs de pénibilité définis – 4 critères supplémentaires étant auparavant pris en compte : postures pénibles, manutentions manuelles de charge, vibrations mécaniques, agents chimiques dangereux. Par ailleurs, le C3P (Compte personnel de prévention de la pénibilité) devient le C2P (Compte personnel de prévention), en conservant les points acquis. Le C2P s’appuie sur les 6 facteurs de pénibilité précisés par l’ordonnance. Enfin, le financement du dispositif est modifié : le système de cotisation de base et de cotisation additionnelle est remplacé par une majoration générale du taux de cotisations Accidents du Travail / Maladies Professionnelles. 2. Le CHST, le CE et les délégués du personnel fusionnent A compter du 1er janvier 2018, dans toutes les entreprises d’au moins 50 salariés, le Comité d’Entreprise (CE), le Comité d’Hygiène, de Sécurité, et des Conditions de Travail (CHSCT) et les délégués du personnel (DP) fusionnent en une seule entité : le Comité Social et Economique (CSE). Ce CSE reprendra donc les attributions du CHSCT : l’analyse des risques professionnels, les inspections de sécurité et les enquêtes réalisées suite à des accidents du travail. Attention, le CSE est mis en place au terme des instances représentatives du personnel actuellement en poste dans l’entreprise, c’est à dire lors de leur prochain renouvellement, mais au plus tard au 31 décembre 2019. Les formations actuellement requises pour les élus du CHSCT sont maintenues dans leur principe et leur durée. 3. Plan de mobilité : deadline dépassée pour les sites de plus de 100 salariés A compter du 1er janvier 2018, toute entreprise regroupant au moins 100 collaborateurs sur un même site devra avoir mis en place un « plan de mobilité ». Une obligation qui a demandé une prise en compte par les entreprises concernées en 2017. L’objectif du plan de mobilité est de réduire à la fois la pollution générée et la congestion des infrastructures de transport. Il consiste pour cela en un diagnostic initial de situation, suivi d’un programme d’actions, assorti d’un plan de financement et d’un calendrier de mise en oeuvre. Et tous les moyens permettant de réduire les émissions polluantes liées aux déplacements sont les bienvenus : le recours au covoiturage et à l’autopartage, la promotion du vélo ou des transports en commun, la mise en place du télétravail… 4. Qualité de l’air Intérieur : surveillance obligatoire dans les crèches et les écoles maternelles et élémentaires Un article du code de l’Environnement instaure la surveillance obligatoire de la qualité de l’air intérieur dans certains établissements recevant du public. Cette surveillance se compose d’une campagne de mesure de polluants réalisée par un organisme accrédité ou d’une auto-évaluation des bâtiments. Cette surveillance sera progressivement imposée à tous les établissements recevant du public : • Avant le 1er janvier 2018 pour les établissements d’accueil collectif d’enfants de moins de six ans, les écoles maternelles et les écoles élémentaires ; • Avant le 1er janvier 2020 pour les accueils de loisirs et les établissements d’enseignement ou de formation professionnelle du second degré ; • Avant le 1er janvier 2023 pour les autres établissements. 5. Les services sociaux et médicosociaux intègrent la menace terroriste Une instruction de juillet 2017 fixe quatre priorités pour la sécurisation des établissements et services sociaux et médicosociaux. Abordant tous les aspects de la sécurité, le texte s’inscrit en particulier dans le contexte de menace terroriste et le déploiement du plan Vigipirate, et aborde l’enjeu de la prévention de la radicalisation. Cette nouvelle instruction complète le dispositif existant dans les hôpitaux (PSE). Ces priorités en matière de sécurité sont : actualiser le règlement de fonctionnement ; prévenir la radicalisation (des usagers comme du personnel) ; prendre en compte la sécurité des systèmes d’information, et enfin sensibiliser et former les professionnels et les usagers à une éventuelle attaque terroriste. 6. Mesures anti-légionelles pour les brumisateurs d’eau collectifs Le décret du 27 avril 2017, relatif à la prévention des risques sanitaires liés aux systèmes collectifs de brumisation d’eau dans les ERP, vise essentiellement à prévenir le risque de développement des légionelles. Il décrit les règles d’installation, d’entretien et d’analyse d’eau à respecter. Par exemple, le texte précise que le système de brumisation doit être alimenté par un réseau de distribution d’eau destiné à la consommation humaine, sans aucun ajout de substance (désinfectant, parfum, etc.). Il doit limiter la stagnation de l’eau et l’exposition à des sources de chaleur. En outre les brumisateurs mis en service après le 1er janvier 2018 devront comporter un dispositif empêchant les retours d’eau de l’équipement vers le réseau de distribution et une vanne de purge et vidange du système. Enfin un nettoyage, avec désinfection, est obligatoire au moins une fois par an, et une analyse bisannuelle doit être réalisée par un laboratoire accrédité pour l’analyse du paramètre légionelles. 7. Les bailleurs tenus de participer à une enquête sur le logement social Les organismes bailleurs doivent réaliser, au titre de l’année 2018, une enquête sur l’occupation des logements sociaux et leur évolution. Un formulaire de déclaration a été mis à la disposition des organismes bailleurs. Les données statistiques recueillies permettront de mieux connaitre l’occupation locale du parc locatif social, département par département, et de consolider ces données dans un rapport national. La collecte des informations, et leur communication en ligne via un portail sécurisé au Ministère de la Transition Écologique et Solidaire, et au Ministère de la Cohésion des Territoires, doivent être achevées au plus tard le 30 juin 2018. 8. Un logement « décent » doit avoir un minimum de performance énergétique Un décret intègre désormais des obligations de performance énergétique dans la définition du logement décent, en application de la loi sur la transition énergétique du 17 août 2015. Les critères de décence du logement, qui conditionnent notamment la possibilité de versement des aides au logement par les CAF, comprennent ainsi un « critère de performance énergétique minimale », qui recouvre deux exigences. Le logement doit être « protégé contre les infiltrations d’air parasites », et « permettre une aération suffisante ». Les dispositions relatives aux infiltrations d’air parasites sont applicables à partir du 1er janvier 2018, celles relatives à l’aération suffisante à compter du 1er juillet 2018. 9. Certificats d’économies d’énergie : objectifs doublés Les entreprises qui vendent des carburants automobiles, de l’électricité, du gaz, du fioul domestique, de la chaleur ou du froid sont soumises au dispositif de certificats d’économies d’énergie (CEE) : elles doivent inciter les consommateurs éligibles à réaliser des économies d’énergie grâce à des travaux de rénovation énergétique notamment. Leurs objectifs sont fixés par périodes de 3 ans. La troisième période se termine au 31 décembre 2017, la 4ème débute au 1er janvier 2018. Pour cette 4ème période, allant de 2018 à 2020, les objectifs d’économies d’énergie ont quasiment doublé. Le niveau global des obligations, sur trois ans, est fixé en effet à 1 200 TWh cumac pour les obligations classiques (au lieu de 700 TWh pour la troisième période) et 400 TWh cumac pour celles réalisées au bénéfice des ménages en situation de précarité énergétique (au lieu de 150). Les modalités de calcul des coefficients pour chaque type d’énergie, elles, restent identiques à celles de la troisième période. 10. Nouveaux critères de performance thermique pour les rénovations lourdes L’arrêté du 3 mai 2007, relatif aux caractéristiques thermiques et à la performance énergétique des bâtiments existants, détaille les exigences associées à différents types de travaux légers réalisés sur des bâtiments existants. Mais à compter du 1er janvier 2018, c’est l’arrêté du 22 mars 2017 (modifiant celui du 3 mai 2007), qui s’applique. Sont concernés les bâtiments existants résidentiels et non résidentiels, à l’exception de ceux soumis aux mesures concernant les rénovations lourdes. Ces dernières correspondent à trois critères respectés simultanément : le bâtiment concerné fait plus de 1000m², a été construit après 1948, et les travaux projetés s’élèvent à plus de 382,5 € HT/m² pour les logements et 326,25 € HT/m² pour les locaux non résidentiels (montants au 1er janvier 2017). Pour les bâtiments concernés, différents critères doivent être respectés, tels que des performances thermiques minimales, concernant murs, toitures, planchers, chauffage, eau chaude sanitaire, ventilation, éclairage, etc. 11. Nouveaux diagnostics gaz et électricité pour louer un logement Créés par la loi ALUR du 24 mars 2014, et définis par la publication de 2 décrets de 2016, deux nouveaux diagnostics gaz et électricité locatifs sont désormais obligatoires pour louer tout logement nu ou meublé. Ces diagnostics évaluent les risques compromettant la sécurité des occupants du logement (risques d’incendie, d’électrocution ou autre). Obligatoires depuis le 1er juillet 2017 pour les logements situés dans un immeuble collectif dont le permis de construire a été délivré avant le 1er janvier 1975, ils sont à partir du 1er janvier 2018 généralisés à tous les logements : logement en immeuble collectif ou maison individuelle. Les propriétaires bailleurs doivent fournir ces deux diagnostics aux locataires lorsque l’installation intérieure de gaz et/ou électricité a plus de 15 ans, ou que le dernier certificat de conformité date de plus de 15 ans. 12. Le contrôle des installations de production d’électricité enfin définies L’arrêté du 2 novembre 2017 relatif aux modalités de contrôle des installations de production d’électricité précise le décret « contrôle », publié en décembre 2016. Il fixe ainsi les prescriptions applicables à l’exploitation des installations de production d’électricité, mais aussi les modalités de contrôle, par des organismes agréés, du respect de ces prescriptions, les contrôles périodiques auxquels sont soumises certaines installations bénéficiant d’un contrat d’achat ou de complément de rémunération… Il contient également un modèle d’attestation de conformité. 13. Autorisation requise pour travailler près de réseaux électriques aériens ou enterrés L’AIPR (Autorisation d’Intervention à Proximité des Réseaux), qui atteste de la compétence d’un salarié à éviter les dommages aux réseaux aériens et enterrés, sera obligatoire à partir du 1er janvier 2018 pour réaliser des travaux à proximité de réseaux. Rappelons que cette autorisation, délivrée par l’employeur, peut être obtenue grâce à un CACES en cours de validité, un diplôme ou certificat de moins de 5 ans, un examen (sous forme de QCM) réalisé dans un centre d’examen agréé, ou encore un diplôme équivalent obtenu dans un autre pays de l’Union Européenne. 14. Le suivi des équipements sous pression modifié en profondeur Un nouvel arrêté modifie les conditions générales d’installation et d’exploitation des équipements sous pression, les modalités de déclaration et de contrôle de mise en service de certains équipements sous pression ou encore les conditions de réalisation de l’inspection et de la requalification périodique. Les changements apportés sont nombreux. Quelques exemples : Contrôle de mise en service étendu, généralisation des plans d’inspection, modification des périodicités d’inspections, pression d’épreuve hydraulique lors de la requalification ramenée à 120% de la pression maximale admissible… 15. Déchets de matières explosives : nouvelles règles pour les installations ICPE qui les collectent et les traitent L’arrêté du 21 novembre 2017 définit les règles techniques et prescriptions générales applicables aux établissements soumis à déclaration sous la rubrique 2793-3a de la nomenclature des installations classées pour la protection de l’environnement (ICPE) – une sous-rubrique qui concerne les installations de collecte et de traitement de déchets de produits explosifs. L’arrêté détaille ainsi le contenu du dossier Installation Classée, l’obligation de déclaration d’accident, les règles d’implantation, d’aménagement, d’accessibilité, de contrôle d’accès, ou encore les valeurs limites de bruit, de vibrations…... En savoir +Qu’est ce que le rapport moral et financier d’une association ?5 septembre 2017Les démarches nécessaires à la création d’une association En phase de création ou en phase de vie, une association doit effectuer différentes démarches et établir divers documents administratifs légaux, que ce soit des documents comptables, fiscaux ou sociaux. Au cours de la phase de création d’une association loi 1901, permettant la mise en place de projet à but non lucratif, les fondateurs devront dans un premier temps établir les statuts de leur association. Ces statuts permettent de définir les règles de vie de l’association, certaines des mentions à stipuler dans ce document sont obligatoires telles que le nom de l’association, le siège social, l’objet, les règles de direction et d’assemblées générales. Ces statuts doivent être signés par les fondateurs avec un minimum de deux. Ces statuts peuvent être complétés par un règlement intérieur de l’association afin de la soumettre à des règles d’organisation interne plus complexes. Rendez vous sur le site Internet de Action Association pour plus de renseignements sur la loi de 1901 sur la création d’associations. La création d’une association, au même titre qu’une entreprise demande de désigner une personne en charge de diriger et de représenter l’association, appelée Président, mais également un trésorier qui assistera le président de l’association dans la gestion courante de l’association. Enfin, il est utile de désigner un secrétaire qui, lui sera en charge du fonctionnement matériel et administratif de l’association. Quand intervient le rapport moral et financier de l’association ? Suite à l’élaboration des statuts et du procès-verbal d’assemblée générale constitutive, une déclaration de l’association devra être faite auprès de la préfecture dont dépend le siège social de l’association. Après la déclaration au Greffe des associations, une publication au Journal Officiel sera nécessaire. En cours de vie de l’association, de nombreuses formalités incombent au président, en matière sociale, par exemple, s’il emploie des salariés, ou chaque année, au moment de la clôture des comptes. Le Président doit réunir les fondateurs afin de mettre au vote le rapport moral et financier de l’association au cours de l’assemblée générale ordinaire. Le rapport moral doit faire état des analyses et des résultats de l’année qui vient de s’écouler. Ce rapport doit également préciser quels sont les objectifs et les orientations pour l’année à venir. Le rapport financier, quant à lui, représente une analyse du compte de résultat avec les principales charges et revenus de l’association. Ce rapport doit permettre aux membres de l’AG de voter sur le devenir de l’éventuel excédent avec une affectation aux réserves ou une dotation aux provisions pour un investissement ou un futur projet d’action. Action Association est une entreprise spécialisée qui accompagne et conseille les associations dans les différentes démarches administratives et comptables à accomplir. Pour plus d’informations sur le sujet : https://www.actionassociation.fr/... En savoir +Créer son entreprise en Angleterre7 mai 2015De plus en plus d’entreprises françaises souhaitent s’implanter en Angleterre et plus particulièrement à Londres. Cet engouement pour cette ville, est dû à son dynamisme et au climat politique et économique en France. Les sociétés françaises souhaitent quitter la morosité française. On compte actuellement 2 500 entreprises françaises, et plus de 300 000 employés. Mais quelles sont les bonnes méthodes pour s’implanter dans la 6ème ville de France ? A qui s’adresser pour ne pas se tromper ? Tax Trends : une aide pour créer sa société Tax Trends est une entreprise basée à Londres, qui compte tout une équipe de fiscalistes et de comptables francophones. Cette entreprise aide toutes les personnes ; consultants, entrepreneurs, à monter leur structure professionnelle ou encore une résidence fiscale. En plus d’être une aide importante dans la création de société, Tax Trends fourni également de précieux conseils une fois la mise en place du projet. Etant des spécialistes de l’Angleterre, cette équipe a une bonne connaissance des juridictions britaniques, ce qui leur permet de proposer à leurs clients des solutions adaptées à leurs objectifs, pour ainsi réaliser leur rêve dans les meilleures conditions possibles. S’implanter en Angleterre ? Quelle structure choisir ? Quel est le traitement fiscal ? Quelles sont les conditions pour s’installer ? Autant d’interrogations posées par ceux qui souhaitent s’exiler au Royaume-Uni. Tax Trends apporte des réponses à toutes ces questions et accompagne les Français dans leur projet, notamment en les guidant sur les marches à suivre, les formalités à remplir pour s’implanter dans les meilleures conditions. En effet, s’implanter dans un autre pays que la France nécessite d’effectuer quelques démarches dès le départ Découvrez l’entreprise dédiée à la création d’entreprise au Royaume Uni : http://fr.taxtrends.org/... En savoir +